Et voici les résultats de l'enquête à la date du 11/11/2012.

Celle-ci continue jusqu'au moins à la date du prochain COPIL et peut être plus tard en fonction des décisions prises par la CCBBO.

Ces résultats ont été transmis à Mr LE CALVE de la CCBBO qui a refusé d'en parler, arguant du fait que cette enquête était "Partisane" !!!!

Et leurs décisions ? Ne sont-elles pas également partisanes ?

Maintenant, faites-en votre opinion (vous pouvez télécharger le document en PDF en cliquant dessus) :

La Banque Mondiale pour la

collecte séparée des biodéchets

Tiré du site du CNIID :

http://www.cniid.org/La-Banque-Mondiale-pour-la-collecte-separee

Le 17 juillet 2012,

Dans son dernier rapport intitulé "What a waste", la Banque Mondiale soutient la collecte séparée des biodéchets et ce pour plusieurs raisons.

Tout d’abord cela permet de réduire les pollutions du sol qui découlent habituellement de la mise en décharge des biodéchets. Par nature humides, les déchets organiques produisent un "jus" appelé lixiviat. Il concentre les polluants et substances toxiques contenus dans les déchets mélangés, notamment les métaux lourds. Par ailleurs, la Banque Mondiale reconnaît que le compost issu de collecte séparée de biodéchets est de meilleure qualité que lorsqu’il est fait à partir d’ordures ménagères en mélange [1].

Le Cniid défend également la position suivante : nos poubelles contiennent environ 50% de déchets organiques (restes alimentaires, épluchures, déchets verts, etc.). Ceux-ci sont composés entre 60 et 90% d’eau et sont majoritairement envoyés en incinération. Une aberration lorsqu’on réalise que cela revient à essayer de brûler de l’eau… Pour cela, il faut donc rajouter d’autres types de déchets, meilleurs combustibles, comme le papier et le carton, qui eux sont… recyclables ! Cette démarche n’est donc évidemment pas la plus pertinente. A ce sujet, la Banque Mondiale précise justement que "la majeure partie du flux de déchets (qui part à l’incinération) n’est pas combustible" [2].

La mise en place d’une collecte séparée pour ces biodéchets permettrait ainsi de les valoriser au mieux en produisant du compost ou du biogaz. Ainsi, nous parviendrions à utiliser cette ressource à la fois agronomique et énergétique, considérée encore trop souvent comme un simple déchet à éliminer...

Les jours passent et les articles se succèdent en toute confusion.

Hier cet article est paru dans le Ouest-France à la demande d’Edith Bourgoin, « Technicienne de terrain de la redevance incitative » auprès de la CCBBO !!!

Qui peut bien être Madame Edith Bourgoin ?

Qui peut, en simple qualité de salariée, se permettre d’interpeler la presse sur un sujet aussi sensible que celui que nous abordons depuis plus d’un mois ?

Et pour faire quoi ? Rajouter de la confusion à la confusion :

Bravo Mme Edith Bourgoin…………

Les premières réunions publiques consacrées à l'information sur la redevance incitative sur les ordures ménagères pour fin 2012 dans les différentes communes de la CCBBO avaient été houleuses.

Des arguments positifs

Kervignac est la dernière commune concernée, et deux réunions ont été programmées : jeudi 24 au bourg ; jeudi 31 mai à la salle de Kernours. La première réunion, jeudi soir, a rassemblé plus de 400 personnes à la salle omnisports. La méthode était différente : en l'absence du président de la CCBBO (il sera présent le 31) et du technicien du cabinet d'études, le maire Jacques Le Ludec, secondé par ses adjoints Elodie Le Floch et Serge Le Vagueresse, a opté pour un exposé basé sur des arguments qu'il a pu développer avant que ne fusent les questions : le fonctionnement du service, la nécessité de réduire les tonnages d'ordures ménagères (objectif, moins 28 %), de maîtriser les coûts (collecte, transport, traitement, etc.), d'équilibrer le budget (chiffres à l'appui). ll a aussi souligné les aspects positifs du tri et des efforts accomplis déjà par la population...

Les usagers pas d'accord

Les usagers ne réfutent pas la plupart de ces arguments, mais n'en démordent pas en ce qui concerne la fréquence des collectes jugée insuffisante, et la grille tarifaire, avec un surcoût important dès lors qu'on dépasse le forfait de base de 12 collectes. La question présentée par une participante sur le choix du volume au lieu du poids a obtenu une réponse technique : le manque de fiabilité de la pesée...

Des solutions à trouver

Les interventions ont été nombreuses, chacun faisant valoir tel ou tel cas. Les élus ont expliqué que les cas sont étudiés, par exemple pour les assistantes maternelles, les aides ménagères, les personnes âgées... Ils affirment : « On trouvera des solutionset répètent volontiers, jusqu'en novembre, nous serons en période d'essai ; rien n'est décidé et on va élargir la commission intercommunale aux usagers ; à Kervignac 3 personnes volontaires en seront les représentantes ».